#MaDalleAngevine par Isis Arrondo
#MaDalleAngevine - 09 octobre 2019
#MaDalleAngevine. Meneuse de l’UFAB49, Isis Arrondo est une joueuse emblématique du club, et symbolise parfaitement #LaDalleAngevine. Championne d’Europe U20 avec l’équipe de France en 2009, l’angevine est aujourd’hui une joueuse d’expérience. Une guerrière, qui ne lâche jamais rien.
1- Quelle est ta définition de #LaDalleAngevine ?
J’en ai entendu parler avant même d’arriver à Angers. Pour moi, ça représente toute l’activité sportive, toute la compétitivité de la ville d’Angers. Dans tous les sports différents. Il y a beaucoup de sport de haut niveau à Angers, et #LaDalleAngevine représente cette famille de sportifs, avec la combativité et toutes les valeurs du sport.
2- Ton meilleur moment de Dalle en tant que sportive ?
C’est un bon et un mauvais souvenir à la fois. C’était le premier match de la final à Landerneau, il y a 2 ans. En terme d’abnégation et de combativité, on a été à la hauteur de l’événement. L’équipe adverse était invaincue à domicile avant notre victoire. On connaît malheureusement la suite mais… on a sorti “LE” match qui symbolise #LaDalleAngevine.
3- Ton meilleur moment de Dalle en tant que spectatrice ?
J’en regarde beaucoup, mais un match référence que j’ai adoré voir, c’est l’équipe de France féminine aux Jeux Olympiques, avec le shoot de Céline Dumerc à la dernière seconde. C’était incroyable.
4- À quelle autre team angevine vas-tu transmettre ta Dalle comme supportrice ?
Avec notre calendrier, c’est parfois compliqué malheureusement. On vient voir l’EAB évidemment, et quelques fois les matchs de handball. J’adorerais aller voir les Ducs d’Angers, car on m’en a souvent parlé.
5- Ton rituel pour avoir la Dalle avant la compétition ?
En routine d’avant match, je vais au shooting. Je suppose que je m’habille toujours pareil (rires) mais je n’y prête même plus attention. Après, c’est sieste, repas, collation… J’aime bien arriver un peu avant tout le monde sur le terrain, je me mets dans mon coin, et je dribble tranquillement. J’essaie d’être en condition pour être d’attaque !
6- La chanson qui te met la Dalle ?
J’écoute beaucoup de musiques, mais pas une en particulier. Comme style, c’est surtout de la kizomba.
7- Un moment difficile dans ta carrière où il a fallu garder la Dalle ?
Quand je me suis blessée à Tarbes, ma dernière année. J’ai quitté le club en cours de saison, j’ai voulu arrêter… Je suis donc partie à l’étranger en Belgique, et le coach des Déferlantes de Nantes m’a rappelée 6 mois après. Là, j’ai dû me dire “bon, faut que je garde la dalle et que je reprenne un risque”. Je pense que c’est mon envie de progresser, de gagner, de jouer à haut niveau qui a fait que je me suis relancée dans ce défi là.
8- Le lieu à Angers qui représente le plus #LaDalleAngevine ?
C’est Jean-Bouin (rires) !
9 – Et quand tu as une grosse Dalle, tu manges quoi ?
Après les matchs, on va souvent manger des plats africains ! Quand on a une grosse dalle, on va manger un bon poulet yassa !