Gino Tombini, le glacier entrepreneur fondu de sport
#Association - 14 février 2024
Celui qui fut pendant près de quinze ans une figure de NDC Foot est aujourd’hui un entrepreneur épanoui. Pour Gino Tombini, soutenir l’association a toujours sonné comme une évidence.
Propos recueillis par Thierry Lardeux
Gino, peux-tu nous rappeler ton parcours ?
J’ai passé douze ans dans l’entreprise familiale de pompes funèbres bien connue des Angevins. À un moment, s’est produit un déclic, non pas de quitter l’entreprise mais de quitter un métier. Soit je partais pour vingt ans de plus, soit j’arrêtais. J’ai décidé de partir sur autre chose, sans aucun regret.
Pourquoi avoir choisi les glaces et en particulier Amorino ?
Je cherchais vraiment le côté plaisir, la convivialité et tout a matché avec eux. Tout collait, il n’y avait pas de glacier italien à Angers, et je ne voulais pas un produit qui ne me correspondait pas. Ici le produit est noble, de qualité, et la franchise a des valeurs qui me correspondent.
Ton rapport avec le sport, il est beaucoup lié à NDC Foot non ?
Effectivement, c’est près de quatorze années de bénévolat du côté des Gouronnières. J’ai un peu joué mais ce qui m’a surtout plu c’est le côté animation d’un club (Gino était notamment en charge de la recherche des partenaires, N.D.L.R.). J’y ai appris beaucoup de choses qui me servent aujourd’hui dans mon parcours d’entrepreneur.
Et ta rencontre avec La Dalle ?
NDC encore et le SCO aussi bien sûr. Mais le fait que La Dalle ait vite soutenu NDC dans son projet d’académie avec Charles Diers qui en a été le parrain a compté. Donc les deux premières structures qui me semblaient évidentes à accompagner, c’était NDC, évidemment, et La Dalle. Ce qui me plait dans l’association, c’est la valorisation de tous les sports, qu’ils soient collectifs ou individuels mais aussi l’Appel à Projets Sportifs qui permet de soutenir du sport et des sportifs locaux. Et puis je vais vous raconter une petite anecdote: quand j’ai monté ma première boutique, il y a eu des hauts et des bas parce que la vie d’entrepreneur ce n’est pas toujours facile ; et bien je me suis rappelé d’une rando difficile que j’avais fait en Corse peu de temps avant pour aller chercher au fond de moi les ressources pour avancer, comme pourrait le faire un sportif qui ne lâche rien. C’est aussi ça l’esprit de La Dalle !